Plombée par la paralysie économique due au Covid-19, la demande mondiale de pétrole subira cette année un effondrement historique. Par. La rédaction (avec l'AFP) - 15 avril 2020 à 18:21. Mesures de confinement sur la quasi-totalité du globe, transports à l’arrêt, industries atones…de quoi précipiter la consommation mondiale de brut à 90,6 millions de barils par jour (mbj) en Dans ses prévisions mensuelles, l'EIA relève en revanche sa prévision de croissance de la demande pour 2020 de 30.000 bpj, à 1,43 million de bpj. Elle estime que la production de brut des États-Unis devrait augmenter de 1,28 million de bpj cette année pour atteindre 12,27 millions de bpj. Le mois dernier, elle tablait sur une croissance de 1,40 million de bpj.
L’EIA estime actuellement qu’en 2021, la demande de pétrole atteindra 99,6 millions. L’EIA n’a aucun moyen de connaître la durée de la récession actuelle, la forme de la reprise, l’impact de la peur du virus sur les voyages, s’il y aura une récurrence du coronavirus, etc. Le mois dernier, l'EIA anticipait une hausse de 1,02 million de bpj à 11,7 millions. La demande est de son côté estimée en hausse de 250.000 bpj, soit là aussi une révision à la baisse de
12 juin 2019 L'EIA anticipe une hausse de la demande de 1,22 million de barils par jour (bpj) cette année, soit 160.000 bpj de moins que dans ses 10 juin 2020 (New York) Les prix du pétrole ont progressé mercredi malgré le niveau réserves de brut ont baissé de 2,3 MB à 49,4 MB, selon les chiffres de l'EIA. Le pétrole monte un peu, prudence toujours de mise sur la demande).
L'EIA anticipe une hausse de la demande de 1,22 million de barils par jour (bpj) cette année, soit 160.000 bpj de moins que dans ses précédentes prévisions. La projection pour 2020 est quant L’agence américaine d’information sur l’énergie (EIA) a réduit sa prévision de croissance de la demande mondiale de pétrole pour cette année et la prochaine, dans son rapport mensuel publié ce mardi. L’EIA anticipe une hausse de la demande de 1,22 million de barils par jour (bpj) cette année, soit 160.000 L'OPEP a déclaré vendredi dernier qu'elle prévoyait une augmentation de la demande mondiale de pétrole de 990 000 b / j cette année, dont la plupart proviendront de pays non membres de l'OCDE. La demande dans la zone OCDE, a indiqué l'entente dans son édition de février de son rapport mensuel sur les marchés pétroliers, augmentera d'un modeste 100 000 b / j. L'EIA, l'agence américaine d'information sur l'énergie, a revu à la baisse mardi ses prévisions de demande mondiale de pétrole tout en prédisant de nouveaux records pour la production des Etats-Unis. La chute des cours du baril, provoquée par la baisse spectaculaire de la demande mondiale, a durablement fragilisé le modèle du pétrole de schiste américain.
La stagnation de la croissance de la demande de pétrole l’an dernier (excepté en Chine, en Inde et aux États-Unis) ne signifie pas que l’économie mondiale soit si mal en point en 2019 Un pas en avant, deux pas en arrière. Mercredi midi sur les marchés pétroliers, le contrat sur le baril de Brent de mer du Nord livrable en janvier prochain reculait vivement La production cumulée des 14 membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole devrait reculer en 2019 de 1,8 millions de barils/jour (mbj) à 30,2 mbj comparé à 2018. Pour 2020 l’EIA anticipe également une nouvelle baisse de 0,5 million de barils/jour.